Lieu de rencontre entre le fleuve Tapajos et le fleuve Amazone, à mi chemin de l’océan Atlantique, se situe la petite mais typiquement amazonienne, ville de Santarem, riche d’un fort héritage culturel. En ces lieux ont été découverts les restes d’une civilisation que les archéologues nommèrent Tapajonica, en raison de la proximité du fleuve Tapajos. L’artisanat de la céramique : vases, plats sont décorés de beaux dessins labyrinthiques. Dans les magasins du centre ville, il est possible d’acheter des répliques de ses poteries.
Arapiúns: un lieu ideal pour explorer la foret primitive preserve.
Parc de la foret nationale de Tapajós National Forest Park: (650 milles hectares) Les touristes vivent les randonnées dans l’amazonie comme une revelation. Assistés d’un guide forestier, ils découvrent une multitudes d’espèces d’arbres, d’animaux et d’oiseaux vivant dans le parc et qu’il est difficile de voir seul.
Fordlândia, un projet d’extraction du latex par saignée, entrepris par Henry Ford au début du 20ème siècle. Le latex était exporté à l’usine de fabrication de pneus qui fournissait la chaine de production de l’industrie automobile Ford. La ville n’est plus en aussi bonne état qu’à son apogée, mais il est intéressant de découvrir une petite ville typiquement nord américaine, avec un urbanisme original, au beau milieu de la foret amazionienne.
Igarapé Jari: cette communité a conservé le style de vie traditionnel des Caboclos, comme par exemple les maisons en farine, la culture du manioc et d’autres légumes, la pêche et l’usage de la fôret qui leur fourni les élements de base à leur nourriture. Caboclo, mot utilisé au siècle des indiens, provient de caa-boc, qui signifie « qui vient de la foret » et igarapé, qui pourrait être traduit par « le chemin du canoé » ; petits fleuves ou canaux que relie les lacs et fleuves et qui peuvent seulement être traversés par des embarcations de petite taille.
Lac Maicá: Dans l’Amazonie, les lacs ne sont pas exactement comme ceux que l’on trouvent partout ailleurs. Les lacs de l’amazonie sont toujours relié à un fleuve, un igarapé ou à un autre lac, par des canaux. Les locaux savent bien que Maica regorgent de poissons attirant les oiseaux, les mammifères et les reptiles. Ceci en fait un lieu idéal pour l’observation des oiseaux ou pourquoi pour pêcher des piranhas, très connu pour grignoter l’appât des pêcheurs sans mêm qu’ils s’en rendent compte.
Óbidos: Située sur la rive gauche du fleuve de l’Amazone, ce lieu est appelé “la gorge de l’Amazone” et constitue le lieu où l’Amazone est le plus étroit (1890 mètre entre ses rives). On appelle les habitants de Obidos les « boucles » à cause de la forme qu’épouse le fleuve en passant devant la ville. Peut-être une compensation pour être si étroit, le fleuve atteint ici une profondeur de 100 mètres. En 1937, le jésuite, Frei Cristovão de Acuña, a écrit dans son récit de voyage : « Lieu sans doute prévu par la Providence Divine, rétrécissant cette douce mer pour que dans son étroitesse puísse être construit une forteresse, afin d’empêcher le passage de toutes armées ennemies qui voudrait porter des souffrances aux indiens et voler les richesses de la région. » La forteresse a été construite en 1697 et est devenu la première colonie de la région. Obidos fut le siège de nombreuses batailles livrées contre les envahisseurs voulant explorer l’Amazonie sans l’autorisation préalable de la couronne du Portugal.
Alenquer: En règle générale, l’Amazone est plus ou moins plat, mais à Alenquer, vous pourrez découvrir des gorges, des vallées, de nombreuses chutes et de formations rocheuses. Dans la « ville des Dieux », graver dans la roche, vous pourrez admirer des dessins préhistoriques datant de 12 000 avant Jésus Christ. C’est le lieu idéal pour faire des randonnées et découvrir de nombreux endroits.
Le Bois de Santa Lúcia: à l’inititive de Steven Alexander qui vit ici depuis 1979 et qui se consacre corps et ame à l’étude cet écosystème. On pourrait dire que le Bosque Santa Lúcia est une bibliothèque vivante, um petit aperçu de ce qu’est l’Amazonie. On y retrouve plus de 200 abres natifs de l’Amazonie et de plantes intéressante, un vrai patrimoine vivant !
Monte Alegre: dans la montagne de Ererê, proche de la ville, ont été découverts les vestiges vieux de plus de 14 milles ans, d’une civilization qui vivait dans la region. Une marche dans la foret nous ramène jusque dans le passé.